Long et fatiguant dans l’ensemble :
Paris -> Zürich (Swiss Air) : rien à redire, c’est vite fait bien fait, exceptée l’heure de retard au départ…
Zürich -> Tokyo Narita (Swiss Air) : aussi bien que Air France ou Korean Air, mais pour un tarif très intéressant.
Meilleure qualité d’écran rencontrée jusque-là, mais si la personne devant vous baisse son siège à fond, vous êtes quitte pour faire pareil et vous allonger si vous voulez continuer à voir quelque chose. Un bon panel de films, y compris des films japonais.
Première fois que nous arrivons à Narita d’ailleurs.
Note : il fait beau.
Là, ceux qui suivent se demandent ce qu’on fait du côté de Tokyo alors qu’on va à Hokkaido : il nous reste un dernier vol, sur une ligne intérieure low-cost.
Tokyo Narita -> Asahikawa (Skymark) : un 337 aux deux-tiers rempli.
Ce fut l’occasion d’expérimenter les lignes intérieures, pour un vol qui dure 1h30 environ, dans le même style que la première partie du voyage, sauf qu’on arrive dans un aéroport style « province », ce qui est tout à fait sympathique.
Bref : in fine, nous avons minimisé le temps de trajet – pour un vol avec escale – et optimisé l’heure d’arrivée, le tout pour un coût plus que raisonnable par rapport à d’autres compagnies du même standing, mais cela au prix d’un peu plus de fatigue peut-être, ou alors on se fait vieux 🙂
A l’aéroport d’Asahikawa, une navette – une seule, on ne peut pas se tromper – nous mène à la gare, à côté de laquelle se trouve notre hôtel.
Lors de ce trajet, et lors de l’approche en avion, nous avons pu voir comme c’est vert et vallonné, avec les hautes montagnes du Daisetsuzan et leurs neiges éternelles en point de mire.
Note : il fait gris.
L’hôtel est tout à fait dans le style des hôtels pour vrp que l’on trouve au Japon : un peu défraîchi, chambre petite, mais tout le confort et pas cher, dans le même style que celui où nous avions logé à Hakodate (sud de Hokkaido) lors du premier voyage, en moins défraîchi quand même, mais sans le LAN dans la chambre, ni un catalogue de videos « fifilles » aussi bien fourni… tant pis : on a amené nos petites séries du moment (Pride, Beautiful Life, et Lucky7).
On se pose un moment à l’hôtel pour se délasser un peu, avant de faire les quelques décamètres qui nous séparent du Seibu (デパート : grand magasin).
Note : il pleut.
Nous nous attardons surtout au rayon babichou (on hésite sur les sandales « flachemacouine ! ») et au rayon alimentaire (une bouteille de sake Taisetsu ice dome et une pâtisserie chacun).
Retour à l’hôtel, nous sommes crevés… on s’endort devant un épisode, et puis la sieste se transforme en nuit longue (enfin pour Mymy, j’ai déjà dormi mes 5 heures réglémentaires moi… je ferai une sieste du matin).
Programme de la journée de demain : visite de la fabrique de sake Otokoyama