Vendredi 15 : dernier jour à Tokyo avant de plier bagages pour Narita.
Retour au musée Edo-Tokyo, qui relate toute l’histoire de la ville, de son origine en tant que village de pêcheurs à la capitale moderne qu’elle est devenue, à peu près avec les JO de 64.
Avant de commencer la visite, qui s’avère assez longue, nous allons déjeuner dans un restaurant autour du thème du sumo – le « temple » du sumo est à côté – avec une vraie piste de sumo en plein milieu.
Le musée est vraiment très bien fait, avec des reconstitutions grandeur nature, des objets de tous les âges, et des maquettes saisissantes de réalisme et fourmillant de détails.
Pause café ensuite, puis retour vers la maison pour une grande – et dernière – séance shopping : jouets, accessoires photo, et une bonne dose de lèche-vitrine.
Nous passons même dans un magasin de sport – estampillé North Face et Technica sur la porte, mais en fait uniquement consacré à la plongée et aux sports d’eau – où une charmante vendeuse nous accueille avec un thé au citron des mieux venus et profite de l’occasion de pratiquer son anglais. Pêle-mêle : congés, Hokkaido, France, Paris, Tokyo.
Je demande où je peux trouver des cartes de Hokkaido et des GPS portables : elle nous indique une boutique dans une rue parallèle à l’avenue que nous empruntons habituellement, boutique que nous trouvons sans mal et avec joie, car bien fournie en équipement en tous genres pour le baroudeur. J’y demande, tout en japonais, à propos des cartes d’Hokkaido et le vendeur me montre le rayon : malheureusement, j’ai déjà les exemplaires qu’il me montre (de l’excellente série Yamato : 山と), et le vendeur m’indique alors d’aller dans une librairie Junkudo, dont un établissement existe à Paris, près de l’Opéra.
Ensuite ce sera un chassé-croisé entre les différents magasins Bic Camera de Ikebukuro (4 magasins en tout) pour trouver deux articles bien précis. Je suis plutôt content de moi parce que j’ai pu me débrouiller en japonais, non seulement pour demander, mais aussi pour comprendre les réponses : comme quoi parfois les phrases sont inutiles, il suffit de s’accrocher à deux mots.
Dîner dans un fast-food à la japonaise : traditionnel contemporain donc, mais rapide, savoureux et pas cher.
Retour à la maison pour l’inévitable séance bagages… nous levons le camp demain à 10h, pour rejoindre Narita et visiter – enfin ? – le temple assez coté qui s’y trouve.
Nuit à l’hôtel demain soir, avec la navette de l’hôtel pour l’aéroport dimanche matin, pas trop tôt.
Si je n’ai pas de connexion d’ici là, à lundi de retour en France et : 2月に日本へ帰ります!